Violenza
Ordinanza 13 giugno 2018, n.15569/2018
La Corte di Cassazione ha escluso la possibilità di concedere
protezione internazionale a un cittadino nigeriano che sosteneva di
aver lasciato il proprio Paese perchè, dopo aver rifiutato di
ereditare il ruolo sacerdotale del padre, era tormentato da un
oracolo. Il ricorrente, infatti, non ha mal dedotto di essere stato
minacciato di morte o violenza da qualcuno, essendo, quindi, il suo
timore che lo avrebbe spinto alla fuga non basato su effettive
persecuzioni o minacce.
Deliberazione della Giunta regionale 01 agosto 2014, n.10/2286
Nota 04 ottobre 2013, n.26
Risoluzione 24 aprile 2013, n.1928
Raccomandazione 27 gennaio 2011
Council of Europe, Parliamentary Assembly. Recommendation n. 1957 (2011): "Violence against Christians in the Middle East" (Provisional edition) (*) 1. The Parliamentary Assembly recalls that Christianity had its beginnings in the Middle East 2 000 years ago and that Christian communities have existed in the area since that time. 2. These communities, which are made […]
Legge regionale 18 gennaio 2010, n.1
Legge regionale Lombardia 18 gennaio 2010, n. 1: "Sostegno alle attività di studio e memoria sui fondamenti e lo sviluppo dell’assetto democratico della Repubblica". ARTICOLO 1 (Finalità) 1. Con la presente legge la Regione Lombardia sostiene interventi finalizzati allo scopo di studiare, approfondire e mantenere viva la memoria dei fatti che hanno segnato la collettività […]
Legge 26 luglio 2007
Risoluzione 15 settembre 2007
Parlamento europeo. Risoluzione 15 settembre 2007: “Gravi episodi che mettono a repentaglio l’esistenza delle comunità cristiane e di altre comunità religiose”. Il Parlamento europeo, – visto l’articolo 18 della Dichiarazione universale dei diritti dell’uomo (UDHR), del 1948, – visto l’articolo 9 della Convenzione europea per la salvaguardia dei diritti dell’uomo (ECHR), del 1950, – visto […]
Sentenza 03 maggio 2007
Dans l’affaire 97 Membres de la Congrégation des Témoins de Jéhovah
de Gldani et 4 autres c. Géorgie, la Cour européenne des Droits de
l’Homme a condamné la Géorgie pour violation de l’article 3 de la
Convention européenne des Droits de l’Homme (interdiction des
traitements inhumains ou dégradants), de l’article 9 (droit à la
liberté de pensée, de conscience et de religion) et de l’article 14
(interdiction de la discrimination) combiné avec les articles 3 et 9.
Le 17 octobre 1999, une centaine de Témoins de Jéhovah réunis dans
un théâtre ont été violemment agressés par un groupe de religieux
orthodoxes dirigé par le prêtre défroqué orthodoxe Vassil
Mkalavichvili. Bloqués dans la salle, les victimes, dont des femmes
et des enfants, ont ainsi reçu des coups de poing, de pied, de bâton
et de croix de fer. Des femmes ont été traînées à terre par les
cheveux, précipitées dans les escaliers ou flagellées à coup de
ceinture. Des Bibles et autres ouvrages religieux ont ensuite été
brûlés. Des chaînes nationales ont diffusé des enregistrements
vidéos de cette attaque, le ” père Basile ” se vantant lui-même
d’être à l’origine de ces agressions. Dans son arrêt du 3 mai 2007,
la Cour européenne a reconnu des traitements inhumains pour 25
personnes et des traitements dégradants pour 14 autres requérants.
Les juges européens ont conclu également à la violation de
l’article 3 du fait du refus de la police d’intervenir sur les lieux
et de l’indifférence totale des autorités géorgiennes. Il est
notamment reproché aux autorités géorgiennes d’avoir manqué à
leur obligation de protéger le libre exercice des droits à la
liberté de religion des requérants. D’octobre 1999 à novembre
2002, les Témoins de Jéhovah auraient fait l’objet de 138 attaques
violentes. Des 784 plaintes enregistrées, aucune n’aurait fait
l’objet d’une enquête diligente et sérieuse.