Osservatorio delle libertà ed istituzioni religiose

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Osservatorio delle Libertà ed Istituzioni Religiose

Sentenza 11 luglio 2017

  European Court of Human Rights Cour européenne des droits de l'homme DEUXIÈME SECTION AFFAIRE BELCACEMI ET OUSSAR c. BELGIQUE (Requête no 37798/13) ARRÊT STRASBOURG 11 juillet 2017 Cet arrêt deviendra définitif dans les conditions définies à l’article 44 § 2 de la Convention. Il peut subir des retouches de forme. En l’affaire Belcacemi et […]

Sentenza 24 gennaio 2017, n.25358/12

In the case of Paradiso and Campanelli v. Italy the Court held that
there had been no violation of the Convention (art. 8). The case
concerned the placement in social-service care of a nine-month-old
child who had been born in Russia following a gestational surrogacy
contract entered into by a couple; it subsequently transpired that the
couple had no biological relationship with the child. [fonte:
http://www.echr.coe.int/] In OLIR.it cfr. Corte Europea dei diritti
dell'uomo, sentenza
27 gennaio 2015

Sentenza 10 gennaio 2017, n.29086/12

L’intérêt des enfants à une scolarisation
complète, permettant une intégration sociale
réussie selon les mœurs et coutumes locales, prime
sur le souhait des parents de voir leurs filles
exemptées des cours de natation mixtes.
L’enseignement du sport, dont la natation fait partie
intégrante dans l’école des filles des
requérants, revêt une importance singulière pour
le développement et la santé des enfants.
L’intérêt de cet enseignement ne se limite pas pour
les enfants à apprendre à nager et à exercer
une activité physique, mais il réside surtout dans le
fait de pratiquer cette activité en commun avec tous les
autres élèves, en dehors de toute exception tirée
de l’origine des enfants ou des convictions religieuses ou
philosophiques de leurs parents. Par ailleurs, les autorités
ont offert des aménagements significatifs aux
requérants : leurs filles ayant notamment eu la
possibilité de couvrir leurs corps pendant les cours de
natation en revêtant un burkini et de se dévêtir
hors de la présence des garçons. Ces mesures
d’accompagnement étaient à même de
réduire l’impact litigieux de la participation des
enfants aux cours de natation mixtes sur les convictions religieuses
de leurs parents. Par conséquent, la Cour estime que, en
faisant primer l’obligation pour les enfants de
suivre intégralement la scolarité et la
réussite de leur intégration sur
l’intérêt privé des requérants de
voir leurs filles dispensées des cours de natation mixtes
pour des raisons religieuses, les autorités internes
n’ont pas outrepassé la marge d’appréciation
considérable dont elles jouissaient dans
la présente affaire, qui porte sur l’instruction
obligatoire. La Cour juge donc qu’il n’y a pas eu
violation de l’article 9 de la Convention.
[Communiqué de presse – http://hudoc.echr.coe.int/]

Sentenza 30 giugno 2016, n.51362/09

Viola l'art. 14 (divieto di discriminazione) in combinato con
l'art. 8 (diritto al rispetto della vita privata e familiare)
della Convenzione europea per la salvaguardia dei diritti
dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) il rifiuto
delle autorità italiane di concedrere il permesso di soggiorno
per motivi familiari al compagno (straniero extracomunitario) dello
stesso sesso di un cittadino italiano.

Sentenza 24 maggio 2016

La mancanza di un luogo di culto per esercitare regolarmente il
proprio credo si riflette direttamente sulla libertà religiosa,
per la cui piena realizzazione ha un grande rilievo la
possibilità di svolgere cerimonie in luoghi in cui i fedeli
possano riunirsi collettivamente. La normativa urbanistica in esame e
la sua applicazione – secondo la Corte adita – di fatto impediscono a
piccole comunità di potere rispettare le condizioni per
costruire un luogo di culto. Di qui la constatazione
dell'ingerenza che, pur perseguendo un fine in sè
legittimo, tra cui la sicurezza nazionale, è sproporzionata e
non necessaria in una società democratica e pluralista.

Sentenza 09 giugno 2016, n.40183/07

Non costituisce violazione dell'art 8 (diritto al rispetto alla
vita privata e familiare) e dell'art. 12 (diritto al matrimonio),
letti in combinato con l’art. 14 (divieto di discriminazione)
della Convenzione Europea dei diritti dell'uomo,
l’annullamento disposto dal giudice, delle nozze celebrate
dall’ufficiale dello stato civile tra i ricorrenti, cittadini
francesi di sesso maschile, non essendo prevista dalla legislazione
nazionale al momento della celebrazione la possibilità di
contrarre matrimonio tra persone dello stesso sesso (ora disciplinata
dalla legge n. 2013-404 del 17 maggio 2013).